• La Crète, l'île aux trésors

    La Crète, l'île aux trésors

    Par Adèle Grisard

    cretoisinforce

    Avec ses 260 km de long d'est en ouest sur 12 à 60 km de large du nord au sud, la Crète est la plus grande des îles grecques et la cinquième de toute la Méditerranée, après la Sicile, la Sardaigne, Chypre et la Corse. Bien que le relief y soit particulièrement marqué, elle se découvre assez facilement.
    De la mer de Crète à la mer de Libye en passant par les montagnes blanches ou la plaine de Messara, le contraste entre les paysages est saisissant. La Crète est ainsi riche d'une telle diversité que vous aimerez y aller et y retourner, notamment pour l’accueil chaleureux des Crétois.
    Nous avons donc décidé de vous faire découvrir quelques-unes de nos étapes dans un carnet de voyage qui vous conduira, tantôt sur les sites les plus connus, tantôt dans des coins plus secrets !

    Sommaire

    Intro
    Heraklion - Knossos, entre histoire et mythologie
    Sur la route du mont Ida
    Rethymnon, entre tradition et folklore
    De Frati à Plakias, la nature retrouvée
    Des tombeaux d'Argyroupoli au lac de Kournas
    Dans les gorges d'Imbros
    Hania, ville lumière
    Elafounisi, sable fin et eaux transparentes
    Infos pratiques

     

    Heraklion Knossos entre histoire et mythologie


    Détruit par deux puissants tremblements de terre, le fort dominant le port a été reconstruit par les Vénitiens dans la première moitié du XVIe siècle pour défendre la ville d'Heraklion contre les Turcs. En vain, puisque ces derniers ont réussi à l'assiéger, pendant plus de 20 ans, et à s'en emparer dans la seconde moitié du XVIIe siècle ! Ayant successivement servi de prison et d'entrepôt, il est gardé par trois lions de Saint-Marc. D'en bas, la vue sur les arsenaux, où l'on fabriquait des galères, est imprenable.

    Nous remontons ensuite la rue du 25-août, l'une des plus animées, jusqu'à la mairie, installée dans une loggia palladienne où se réunissaient autrefois marchands et notables, qui donne sur le square de l'église Saint-Titos un temps transformée en mosquée. Nous n'avons ensuite qu'un détour à faire pour nous retrouver sur la place de la fontaine Morosini, construite sous la domination de la Sérénissime. L’endroit est très fréquenté : normal, on s’y donne rendez-vous pour savourer une glace !

    Dommage que les vingt salles du musée archéologique - le plus riche de Crète - soient encore en cours de rénovation. Les objets les plus importants de sa collection sont, toutefois, présentés au public : de splendides bijoux, de magnifiques fresques, d'amusantes statuettes et, surtout, le fameux disque de Phaistos aux 241 symboles encore non déchiffrés...

    L'immense site archéologique de Knossos se trouve à tout juste 5 km de la capitale. Celui qui a découvert les lieux en 1900, Sir Arthur Evans, a passé 30 ans à remonter des murs, à redresser des colonnes, à recréer des escaliers, etc. Du coup, nous imaginerons assez facilement à quoi devait ressembler le palais à son époque faste du IIe millénaire av. J.-C. Et même s'il n'a pas toujours respecté les canons de beauté, nous nous promènerons avec plaisir, au milieu des cigales, sur les « vraies fausses » traces du roi Minos !

     

     

    Sur la route du mont Ida


    À nous, aujourd'hui, les petites routes de l'arrière-pays ! Direction le mont Ida, sur lequel Zeus serait né dans une caverne. Premier arrêt à Arkadi. Situé sur un plateau fertile, le village est connu comme l'un des hauts lieux de la résistance des paysans crétois contre l'armée turque en 1866. Se sentant perdus après trois jours de combat, les assiégés préférèrent se sacrifier en faisant sauter les barils du monastère où ils avaient trouvé refuge, plutôt que de se rendre à l'ennemi. Nous y rencontrons de nombreux fidèles orthodoxes venus, en pèlerinage avec leur pope, embrasser chacune des nombreuses icônes de son église richement décorée. Les Crétois sont très croyants et pratiquants.

    Deuxième arrêt à Eleftherna, pour son immense site archéologique. Nous y découvrons, disséminés en plusieurs endroits, les vestiges d'une importante cité antique gréco-romaine. Puis nous déjeunons à Margarites, notre troisième arrêt, charmant petit village de potiers.

    Quatrième arrêt à Zoniana, pour la grotte de Sfendoni. D'une superficie moyenne de 3 500 m2 et d'une température constante de 18 °C, elle présente de magnifiques stalactites et stalagmites à 270 mètres sous terre, dans un labyrinthe où les chauves-souris sont bien cachées.

    Cinquième et dernier arrêt à Anogia. C'est l'heure où les hommes sont réunis aux kafenion de la grande place pour la partie de tavli - qui se joue à deux sur un tablier en bois avec des dés et des pions -, tandis que les femmes discutent entre elles, en attendant qui voudra bien leur acheter leur nappe en dentelle ou leur tapis en laine. L'occasion, pour nous, de découvrir quelques visages typiques et quelques costumes traditionnels : foulard tricoté autour de la tête, pantalon bouffant et grandes bottes noires pour les hommes, jupes et chemises noires pour les femmes.

     

     

    Rethymnon, entre tradition et folklore


    Plus populaire et plus commerçante qu'Heraklion, Rethymnon est désormais la troisième ville de Crète, derrière Hania. Pour mieux nous obliger à ouvrir les yeux, nous décidons, ce matin, de partir à travers les ruelles étroites de son cœur historique sans plan en poche. Depuis la fontaine Rimondi bâtie par une ancienne famille patricienne à l'emplacement d'une source, nous découvrons, très vite, de nombreuses maisons vénitiennes ou ottomanes au charme désuet avec leurs petits balcons.

    Après avoir passé les magasins de souvenirs, où on peut faire le plein d'huile d'olive et de bijoux (attention à la qualité !), nous tombons, tout à coup, sur une pâtisserie traditionnelle où nous craquons pour de délicieux petits gâteaux au miel et aux noisettes, les baklavas ! Un peu plus loin, nous nous arrêtons devant la vitrine d'une vielle épicerie. Les minces étagères en bois sont poussiéreuses mais la lourde balance en métal est impeccable. Soudain, nous entendons quelques notes de musique venant de l'échoppe d'en face. Ce sont celles d'un laouto, instrument local entre le luth et la mandoline.

    Au hasard des rencontres, nous sommes surpris par le nombre d'hommes - vieux comme jeunes - qui ont leur komboloï à la main : une sorte de chapelet avec lequel on joue pour s'occuper les doigts... Sortis par la porte Guora, nous débouchons, enfin, sur la place des 4-martyrs - où l'église du même nom vaut vraiment le coup d'œil - et sur le parc municipal. De là, nous rejoignons rapidement le front de mer . Sur la grande plage, les loueurs de transats et de parasols font des affaires ! En fin d'après-midi, nous gravirons la colline jusqu'à la forteresse dominant la baie du haut de son promontoire rocheux, l'une des plus grandes jamais construites par les Vénitiens. Puis nous irons admirer le coucher de soleil sur le vieux port.

     

    De Frati à Plakias, la nature retrouvée

     

    « Vous allez voir, ça vaut le coup de se piquer les pieds ou de se griffer les jambes pour arriver là-haut ! » Nous sommes à Frati, petit hameau paisible, où un villageois nous propose d'entrer sur ses terres pour gravir la colline depuis laquelle les Vénitiens montaient jadis la garde contre les Turcs. Accueillis par un troupeau de moutons cherchant à se protéger du soleil, nous devons grimper, comme des chèvres (!), au milieu de buissons, découvrant, ici et là, des plants de sauge, de romarin ou d'origan et même des oignons sauvages poussés entre deux cailloux. Arrivés au sommet, difficile de tenir debout à cause du vent ! Mais quelle vue magnifique ! Devant nous, les gorges de Kourtaliotiko et, à l'horizon, la mer de Libye ; derrière nous, Frati et ses milliers d'oliviers à perte de vue.

    Reprenant notre véhicule, nous descendons les gorges, nous arrêtant à la sortie du virage le plus étroit pour écouter le vent souffler entre ses parois vertigineuses. Car c'est bien de son bruit impressionnant que vient le nom de Kourtaliotiko. Un peu plus loin, un panneau sous une arche indique l'accès à la petite église de Saint-Nicolas - environ 200 marches - au fond des gorges. C'est à cet endroit que naît la rivière qui va s'écouler jusqu'à la plage de palmiers de Previli. Dommage que nous ayons oublié nos jumelles car planent, juste au-dessus de nos têtes, plusieurs vautours. Nous découvrons enfin la côte rocheuse : les plages d'Amoudi et de Damnoni, puis celle de Plakias, l'une des stations balnéaires les plus réputées de l'île. Des criques et encore des criques ! À cause des courants, l'eau est moins chaude au Sud qu'au Nord...

     

    Des tombeaux d'Argyroupoli au lac de Kournas

     

    Il règne à Argyroupoli une douce chaleur lorsque nous arrivons sur la place du village. Nous découvrons tout d'abord une magnifique inscription sur le fronton d'un porche en pierre. Puis c'est une petite chapelle qui attire notre attention, et ensuite, guère plus loin, une colonne ionique. Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises ! La plus belle sera une splendide mosaïque romaine composée de 7 000 pièces de 6 couleurs. Ses motifs, très géométriques, laissent à penser qu'il pourrait s'agir du sol d'un bain public.

    Au bout d'une ruelle qui descend, nous nous apprêtons à partir lorsqu'un villageois, assis sur une chaise en paille, nous interpelle. « German or French ? », nous lance-t-il. À peine lui avons-nous répondu qu'il veut absolument nous montrer quelque chose : de vieilles photos de la nécropole située à quelques centaines de mètres de là. Notre homme croit ainsi nous appâter pour nous vendre les napperons de sa femme !

    Il faut reprendre la voiture pour trouver les fameux tombeaux. Les uns sont cachés dans une petite église à laquelle on accède par un chemin caillouteux. À la lumière d'une lampe torche, nous y éclairons, sur la gauche, cinq sarcophages d'une même famille. Les autres - et les plus nombreux ! - se trouvent de l'autre côté de l'édifice religieux, creusés à même la roche. Gardé par un énorme platane vieux de 2 000 ans, l'endroit n'est finalement pas si austère qu'on aurait pu s'y attendre !

    Puis nous filons jusqu'au lac de Kournas, le plus grand lac de Crète, long d'1 km et large d'1,5 km. Gardées par des canards multicolores, ses eaux très claires abritent de nombreux poissons d'eau douce, de la truite à l'anguille. La légende raconte qu'il serait né de la volonté de Dieu de punir les villageois de Corissia, qui s'étaient écartés du droit chemin, en leur infligeant des pluies torrentielles. Il les aurait tous fait périr, à l'exception de la fille de leur prêtre, d'une rare beauté, qu'il aurait transformée en sirène. C'est elle qui apparaîtrait, chaque soir, sous les étoiles...

     

    Dans les gorges d'Imbros

     

    Depuis quelques jours, le thermomètre est vraiment passé au rouge ! Alors, nous préférons partir tôt ce matin pour descendre les gorges d'Imbros depuis le petit village du même nom, au pied des Lefka Ori ou « montagnes blanches », culminant à 2 452 m d'altitude. Le vent qui souffle à leur entrée, aura complètement disparu à leur sortie.

    Le parcours de 8 km n'est pas spécialement difficile, même s'il faut absolument porter de bonnes chaussures de marche pour ne pas se tordre une cheville dans les cailloux formant le lit du ruisseau, toujours à sec ! Surtout, ne pas oublier la crème solaire et la bouteille d'eau, car il est impossible de se ravitailler en chemin.

    La végétation est assez abondante, avec bon nombre de sapins et de cyprès, de fleurs et de plantes, dont les sauges de Jérusalem. Soudain, nous découvrons une très belle grotte à flanc de rocher, mais elle est un peu trop difficile d'accès pour aller l'explorer ! Environ à mi-parcours, en plein virage, l'endroit le plus étroit : les parois, toutes striées, y sont tellement proches, qu'on peut les toucher en écartant les bras ! On a presque la sensation de s'engouffrer dans un tunnel... Et puis, tout à coup, les « kri-kri » - les chèvres - que nous entendions de loin ! Nous n'avons pas l'air de les déranger. Un homme attend les randonneurs pour contrôler leur ticket : les droits d'entrée servent à payer l'entretien des gorges.

    Tandis que le soleil tape de plus en plus fort, le lit de la rivière s'élargit enfin. En ligne de mire, la mer ! Celle de Lybie. Mais pour aller nous baigner, il nous faudra dépasser Komitades pour pousser jusqu'à Hora Skafion, 4 km plus loin. Un beau petit village où le mieux est de gagner la plage située au-delà de l'allée de restaurants. On y découvre une large crique, où l'eau est claire et fraîche. Dans quelques jours, nous parcourrons les 16 km des gorges de Samaria, certes beaucoup plus impressionnantes, mais aussi beaucoup plus fréquentées !

     


    Hania, ville lumière

     

    Malgré ses odeurs d'épices, de viande et de poisson, et même si l'on peut toujours y acheter de quoi garnir son panier pour connaître les bienfaits du régime crétois, nous sommes assez déçus de constater que le marché couvert de Hania est devenu très touristique. Ce sera, néanmoins, le seul endroit où nous pourrons découvrir les fameux escargots de l'île qui sont tout de même à 7 € le kilo.

    Puis nous empruntons la rue du Cuir ; elle porte bien son nom, vu le nombre d'échoppes qui y vendent sacs, ceintures, chaussures et cartables en tout genre ! Juste de l'autre côté de la place de la cathédrale orthodoxe, un porche donne sur l'entrée d'un petit jardin abritant une église catholique et, surtout, l'écomusée de la Maison crétoise. Marchant au calme un peu plus en retrait dans les ruelles étroites, nous découvrons ensuite quelques restaurants aux superbes cours et terrasses aménagées dans la pierre. L'occasion de goûter à la moussaka et au pastitsio dans un cadre idyllique !

    Nous débouchons enfin sur le port vénitien. C'est l'heure de la sieste ? Ici, on ne connaît pas ! Les cafés sont pleins. Nous nous dépêchons d'aller visiter le musée de la marine facilement repérable à l'ancre qui en garde l'accès. De superbes objets et maquettes, et toute l'histoire de la bataille de Crète en 1945. Mais il nous faut encore aller en face, où attendent les calèches ! Nous en profitons pour entrer dans la grande mosquée des Janissaires - on sent bien l'empreinte turque ! - reconvertie en galerie d'exposition. Ayant dépassé les arsenaux parfaitement conservés, nous nous rendons au pied du phare. Nous ne sommes pas les seuls à vouloir profiter de la vue sur le quartier de Kastelli, mais il n'y a pas foule non plus ! Dans quelques heures, le coucher de soleil couvrira les lieux d'une lumière dorée...

     

     

     

    Elafounisi, sable fin et eaux transparentes


    C'est presque la fin de notre voyage. Alors, rien de mieux qu'une journée de farniente pour en profiter jusqu'au bout. Nous décidons de mettre le cap sur la pointe sud-ouest de la Crète. Il paraît que se trouve, là-bas, l'une des plus belles plages de l'île, à Elafounisi. Nous voilà donc repartis pour un dernier tour sur les petites routes. Au bord, les vendeurs de pots de miel n'ont pas vraiment l'air de s'enrichir. Même à 30 ou à 50 km/h, chaque automobiliste est bien trop pressé d'aller plonger dans la grande bleue.

    Arrivés sur place, nous découvrons une magnifique plage de sable blanc. On nous avait promis des reflets roses dus à la présence de nacre dans le sable, mais, à vrai dire, il y en a de moins en moins. Pas question, pour autant, de bouder notre plaisir d'avoir découvert un lieu aussi paradisiaque. Aussi, plutôt que de nous aligner comme des sardines sur la plage bondée où transats et parasols sont pris d’assaut, nous préférons remonter le short et passer le gué, le sac sur les épaules, pour atteindre la presqu'île. C'est même assez rigolo !

    Une petite dune et, derrière, des eaux cristallines. Un lagon tout aussi agréable que celui de Balos, seulement accessible en bateau à la pointe nord-ouest de la Crète, près de l'île de Gramvousa. Il y aura tellement peu d'ombre et il fera tellement chaud que nous passerons presque tout notre temps dans l'eau…

     

    Infos pratiques


    Où se renseigner ?


    www.gnto.gr : site de l'office national hellénique du tourisme. Peu d'infos sur la Crète.
    www.alpha-omegaonline.com : site en français très détaillé et très pratique.
    http://groups.msn.com/<wbr></wbr>touristservicescrete : site en anglais avec plein d'idées, de conseils et d'adresses.

    Comment y aller ?
    Vols directs Paris-Heraklion avec XL Airways et Transavia.
    À partir de 300 € TTC l'aller-retour en basse saison et à partir de 450 € TTC en haute saison. Attention, vols saisonniers.
    Sinon, vols avec escale à Athènes toute l'année avec Olympic Airlines

    Comment se déplacer ?

    Le plus pratique est de louer un véhicule. Nous vous recommandons le groupe Alianthos et notamment son agence de Rethymnon tenue par un couple extrêmement charmant, Maria et Spiros ‒ qui parlent très bien français et anglais et qui peuvent aussi vous louer un appartement ! N'hésitez pas à leur demander conseil pour votre itinéraire.
    Vous pouvez réserver depuis la France auprès de l'agence de Rethymnon pour avoir votre véhicule livré à l'aéroport d'Heraklion.
    Prix maximum pour un véhicule de classe moyenne (Panda, Aygo, Yaris ou Polo) avec air conditionné : 30 €/jour en basse saison, 35 €/jour en moyenne saison, 40 €/jour en haute saison (très bonne assurance, kilométrage illimité et deuxième conducteur inclus). Il est également possible de louer un véhicule plusieurs jours non consécutifs.
    Tourist Services Satellite : quasiment en face de l'office de tourisme juste avant la grande plage, 21, rue Sofokli Venizelou, Rethymnon 74100, Crète, Grèce. Tél. : 0030-283-105-66-41 ou 0030-694-424-69-23 ou 0030-694-585-19-46. Fax : 0030-283-105-68-61.

    Où dormir ?

    Pour dormir chez l'habitant, globalement, il n'est pas nécessaire de réserver à l'avance.

    Où manger ?
    Heraklion : vous trouverez plein de restos et de snacks autour de la fontaine Morosini et de l'église Saint-Titos.
    Mont Ida (Margarites) : la taverne de gauche à l'ombre sur la grande place. Bon ragoût maison.
    Rethymnon : la Gargotte située dans le centre historique, prix bas.
    Taverne Rakomelo, Efstr. Fotaki 24 A, prix moyens.
    Frati : le restaurant situé sur la place du village. Bonne cuisine traditionnelle.
    Argyroupoli : la première des deux tavernes près de l'église, au bord de la route qui descend. Bonne cuisine traditionnelle.
    Gorges d'Imbros (Hora Skafion) : hôtel-restaurant Samaria (parmi les premiers restaurants en arrivant du parking). Bonne cuisine et vue agréable.

    Hania : hôtel-restaurant Amphora, 2 Parados Theotokopoulou. Sur le port vénitien à deux pas du musée de la marine.

    Le coup de cœur des vacances ! Excellente cuisine (poisson frais, spécialités crétoises) et vue magnifique. Taverne Steki, 3-5 Agion Deka, derrière la cathédrale. Bonne cuisine servie dans une jolie cour.

    Elafounisi : peu de restos. Mieux vaut emporter son pique-nique !


  • Commentaires

    1
    Adèle Grisard
    Jeudi 21 Mai 2009 à 00:29
    A part les deux premières parties :
    Heraklion - Knossos, entre histoire et mythologie
    Sur la route du mont Ida
    Nous n'avons rien reçu d'autres.
    Envoyez nous la suite pour qu'elle soit publié.
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    2
    Dimos Profil de Dimos
    Jeudi 21 Mai 2009 à 01:47
    A part les deux premières parties :
    Heraklion - Knossos, entre histoire et mythologie
    Sur la route du mont Ida
    Nous n'avons rien reçu d'autres.
    Envoyez nous la suite pour qu'elle soit publié.
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